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Les pensées du mois de Mars
2006
NOTRE MERE, LA TERRE
|
«
Si l’homme pouvait seulement comprendre que la pollution
psychique de la terre est un crime et s’il tentait
de vivre en harmonie avec la Mère Nature,
il entrerait bientôt dans l’Ère cosmique
et rejoindrait les rangs des autres civilisations
stellaires que représente un certain lieu
sur notre globe.
Tôt
ou tard, mais un Gouvernement Planétaire
sera indispensable. Il devra être constitué
non de démagogues, de profiteurs pervers,
mais de scientifiques humbles, sincères,
de savants et de philosophes soucieux de la vie
de tous dans la paix, la tranquillité et
la sérénité. Car la science
est internationaliste tandis que la politique est
nationaliste, la religion quant à elle, a
besoin de se réformer comme elle l’a été
tout le long de son histoire. »
Ce
sont là les termes des sages de l’Extrême
Orient.
Ce
texte n’est pas d’inspiration bouddhique, il n a
pas pour vocation de ramener les lectrices ou lecteurs
à opter pour une croyance quelconque. Ici,
le scientifique, le religieux, l’animiste, le philosophe,
l’athée, sont étroitement concernés
et devraient être prêts à collaborer
ensemble pour le bien de tous ! Il ne s’agit pas
non plus de crier au secours d’un pontife afin de
se laver les mains ou d’effacer les erreurs commises
par l’homme. Il s’agit d’un appel pour que s’instaure
un nouveau comportement bien supérieur au
civisme courant, soit enfin adopté pour le
rétablissement de la « santé
» de la terre. Il est fait allusion ici d’une
œuvre qui devra avoir un caractère collégial
où tous les individus ont leur part de responsabilité.
Il ne s’agit pas simplement d’une politique de l’environnement
car celle-ci, bien que nécessaire, constitue
qu’une infime partie du travail qui devra être
réalisé.
Voilà
pourquoi nous confirmons que le passé appartient
désormais au passé. L’expression «
Plus jamais comme avant » n’est pas un aphorisme
qui se contente de s’appesantir sur des humeurs
excessives. Nous ne devons pas non plus entretenir
le culte ou la manie du désespoir. Cependant,
cette expression prend tout le sens d’une volonté
réelle de vouloir changer en bien ce monde
d’apparence cruelle, mais réellement menacé
par l’inconscience et des actes aberrants des humains.
Cette cruauté nous l’avons créé
de toute pièce, de nos mains. Le dernier
fragment du puzzle est encore entre nos mains. Nous
sommes arrivés à la croisée
d’un grand choix : vaincre l’adversité traduite
par nos instincts et nos pratiques négatives
envers notre planète bleue, ou périr.
La manie de vouloir toujours tout prouver est arrivée
aux portes de sa dernière demeure.
Le
déchaînement des éléments
(cyclones, tempêtes, tremblements de terre,
éruptions volcaniques, inondations, le réchauffement
de la planète, etc.), nous donne bien des
frissons. Aujourd’hui, nous finissons par dire ou
se demander « à quand, notre tour ?
» Ou encore : « pourvu que cela ne nous
arrive pas ! Pensons à autre chose et profitons
de la vie ! » Car on ne plus à présent
imaginer que cela n’arrive ou n’arrivera qu’aux
autres. Mais il y a aussi l’autre l’attitude, celle
de se dire « s’il faut penser quotidiennement
aux catastrophes, où va-t-on ? On ne vivrait
plus, ou du moins dans une angoisse quasi permanente.»
Cependant, la menace est bien réelle et les
êtres les plus sensibles la ressentent déjà,
en eux-mêmes que les hommes feront n’importe
quoi pour profiter égoïstement de la
générosité de la terre.
Que faut-il penser ou faire ?
En
fait, il ne s’agit pas de l’annonce d’une nouvelle
ère parce que celle-ci s’est déjà
présentée autrement et semble offrir
de meilleures perspectives. Les adeptes du fameux
« nouvel âge » (ou en anglais
le new age), seraient bien déçus de
constater que les bouleversements géologiques
sont essentiellement dus aux utilisations maladroites,
brutales de l’homme des énergies qui régissent
un bon nombres de lois physiques de la Nature. Ces
lois sont parfaitement ordonnées bien qu’elles
paraissent le contraire aux yeux des humains. Elles
semblent en effet, plus ou moins fantaisistes; capricieuses
et l’homme pense même qu’il peut les manipuler
à sa guise ! Quel orgueil !
Il
est cependant juste, dans une certaine mesure, qu’à
des périodes cycliques précises, le
cosmos « bouge » et semble modifier
quelque peu son système de révolution.
Pourtant, là encore, tout est conforme à
un ordre parfait !
Ce
que nous devons à tout prix savoir est que
le cosmos n’est pas une entité identique
à celle d’un être humain. Par exemple,
qu’il aurait un sentiment quelconque, un genre de
compassion d’indulgence ou, à l’opposé,
une vengeance à assouvir avant d’exécuter
sa rotation révolutionnaire. Certes, les
convulsions inattendues ont toujours causé
des dégâts impressionnants, mais c’est
à l’homme de chercher à mieux connaître,
à mieux respecter son environnement terrestre
et cosmique. La Nature ne répond pas donc
aux émotions humaines ces notions de neutralité,
d’impartialité ou de partialité n’existe
pas. La question d’équité ou d’iniquité
ne se pose pas. Ce qui est sûr, elle rétablit
pour elle-même ce que l’homme détruit
ou met en péril dans les transformations
naturelles, dans l’écosystème, dans
ce qu’on pourrait appeler la partie « vitale
» de la Nature. Par voie de conséquence,
l’homme subit directement le choc en retour comme
le boomerang des aborigènes illustre parfaitement
le processus.
Nous
trouverons toujours des excuses pour justifier nos
actes criminels à l’égard de la terre,
parce que nous croyons fermement qu’elle est insensible
physiquement et que ce n’est qu’un amas de matière
inerte : grave erreur ! Par exemple, nous «
blessons » la terre par des forages dans le
sol que ce soit au milieu des océans ou sur
la terre ferme. Nous ne tenons pas compte des réactions
ultérieures. D’ailleurs, nous ne faisons
rien, pas davantage pour soigner ces blessures,
nous nous octroyons au contraire, une liberté
insensée au nom de l’économie, de
la compétition des marchés, bref,
d’un besoin plus virtuel que réel devenu
nécessaire, mais qui portera préjudice
dans un proche avenir. Imaginez l’être humain
dans les communiqués radiophoniques ou télévisés
en train palabrer sur les fluctuations tarifaires
du pétrole brut, par exemple, ce que telle
ou telle catastrophe naturelle a eu pour conséquence
sur les cotations boursières ! On croit rêver
! Pire, nous envisageons coloniser d’autres planètes
dans le cosmos sans le moindre respect de quoi que
ce soit.
La
terre n’est pas simplement un « amas »
d’éléments inerte, une poubelle. Lorsque
nous pensons à un parent ou ami, il ne nous
vient pas à l’idée de penser à
son orteil, ni à une partie seulement de
son corps, mais à l’ensemble de sa personnalité.
Certes, nous sommes indifférents devant un
tas de boue, une motte de terre empotée,
bref, la partie moléculaire de la terre ne
nous impressionne pas, ne nous intéresse
pas et pourtant ! La terre en tant que planète,
est un peu comme notre propre corps, ses composants
obéissent à la loi du changement qui
est permanent et impermanent à la fois. En
d’autres termes, la loi du changement ne se comprend
pas uniquement dans un système de temps ou
d’espace tel que le mental et l’intellect osent
le définir.
Bien
entendu, ce qui vient d’être dit ne doit pas
être confondu avec les changements physiques
du corps dû parfois aux humeurs changeantes
du mental ou à l’usure inéluctable
de la matière. Il a été répété
maintes fois que la terre est un être vivant.
Nous la maquillons avec des arbres, des fleurs,
pour nos besoins immédiats avec du goudron,
du béton, etc. mais globalement, son corps
est unique, bel et bien vivant. Il mérite
autant de soin que nous en avons pour notre propre
corps.
En
effet, nous « chouchoutons » notre corps,
nous le soignons pour le rendre agréable
à la vue, mais aussi pour le maintenir, autant
que faire ce peut, en bonne santé et surtout
en vie ! Sujet à la souffrance, tout comme
nous-mêmes, lorsque nous sommes mal traité,
la terre ne se plaint pas vocalement, mais elle
sait se faire comprendre. Cette vérité
laisse le septique sourire, mais il sourit moins
dès l’instant où il se voit concerné
par les nécessités de régénération,
ou de transformation de la terre. A ces moments,
pris de cours et de panique, il tente de réparer
en vain ce qui a été détruit
en un clin d’œil et prie un Dieu sauveur ! Dieu
n’a rien à voir avec ce qui est et doit être
corrigé par l’homme et lui seul.
Le
monde occidental est un monde pratique, alors que
le monde oriental (par oriental il ne faut entendre
par là uniquement les peuples mais aussi
la partie physique orientale et globale de la terre)
est un monde plus objectif quant à la notion
du besoin et du strict nécessaire. C’est
l’occident qui a « exporter » hors de
ses frontières le matérialisme, la
nouvelle philosophie comme celle de la société
de consommation.
L’homme
a toujours cru que la terre lui doit tout et qu’il
n’a rien à compenser.
Ici,
il a planté des carottes, il pense alors
qu’il n’y a rien de plus normal que de cueillir
des carottes et non des radis ! En un mot, l’homme
estime qu’il a fournit l’effort nécessaire
et suffisante de planter ou semer ceci ou cela et
qu’il est en droit d’être récompensé
comme il se doit, selon la logique humaine. Autrement
dit, le fait de cueillir des carottes est un «
dû » point final ! Il vous répondra
: « c’est comme ça et pas autrement
! » Bien sûr, selon lui, il n’y a rien
à reconnaître dans ce processus de
transformation, dans cette « magie alchimique
» par extension, dans cette générosité
incommensurable.
?
Lorsque nous consommons les animaux comestibles
comme la vache par exemple, nous ne nous rendons
pas compte que c’est grâce à l’herbe
qu’il mange que nous le mangeons à notre
tour. Mais cette herbe d’où vient-elle ?
Ainsi,
nous pouvons passer en revue les mille myriades
de fois où la terre nous rend de grands services
sans que nous ayons à lui donner la moindre
monnaie ! Il nous est simplement demandé
de faire l’effort d’aller chercher l’eau si nous
avons soif, d’allumer le feu si nous avons besoin
de faire la cuisine, ou si nous avons froid. Il
en est de même en ce qui concerne l’air. Si
nous suffoquons, gênés par des odeurs
excessives, alors on cherche tout de suite à
renouveler l’ambiance aérienne qui nous environne.
Nous voyons donc, qu’au sein du globe terrestre
tout est prévu pour que puissions vivre dans
de bonnes conditions, dans le bonheur. Sommes-nous
pour cela reconnaissants à la terre ? Vous
allez rétorquez : « mais la terre n’est
rien ! C’est un raisonnement ridicule et suffisant
! »
Nous
n’avons pas à étudier les théories
de la géologie pour assimiler ce qui vient
d’être dit. Faut-il alors comprendre autrement
les bouleversements climatiques et les déchaînements
des éléments ?
La
science a beaucoup progressé dans le domaine
des prévisions météorologiques,
dans l’étude des formations des cyclones
et dans d’autres phénomènes relatifs
à la « vie » du cosmos. Même
si le mot « vie » n’est pas approprié
pour beaucoup, cela ne modifie en rien la réalité
de ce qui est avancée ici. Car ce qui est
sans vie, n’existe pas, et, est absent (la Palisse
n’aurait pas dit mieux diriez-vous !)
Les
peuplades d’autrefois respectaient la Nature souvent
par crainte et ignorance. Ils attribuaient aux orages,
et autres phénomènes spectaculaires
mais naturels, des causes divines. Lorsque ces phénomènes
détruisaient les cultures, modifiaient les
cours d’eau de façon impressionnante, ils
pensaient que le Grand Esprit ou Dieu était
en colère. L’avantage que l’on pouvait retirer
dans cette attitude, est que ces peuplades cherchaient
à se corriger tant bien que mal contrairement
aux hommes d’aujourd’hui des cités modernes
qui ne pensent qu’à posséder.
En
fait, les grands bouleversements cosmiques sont
la nécessité de nouvelles conditions
qui, bien qu’ils soient indirectement matière
à réflexion, restent avant tout l’application
inéluctable d’une loi physique. S’ils contribuent
à une prise de conscience afférente
à l’action négative de l’homme dans
l’utilisation et cela ne peut être que mieux
pour son avenir.
La
loi de cause à effet n’a jamais été
un grand mystère si, l’on prête une
attention plus particulière sur les pensées
et les actions de l’homme. Ce qui est surtout regrettable,
est que l’homme répugne à croire que
la pensée est génératrice d’actes
bons ou mauvais, qu’elle est créatrice et
génératrice d’action. Elle provoque
autant de dégâts sinon pire que ces
« cataclysmes » répétés
que nous vivons actuellement. Nous le répétons,
à vrai dire, la terre comprise dans la «
famille cosmique» doit également se
conformer aux changements mais dans un ordre parfait.
Il n’y a pas de désordre dans le cosmos.
Les interprétations hâtives sur ce
point, quelles soient scientifiques ou philosophiques,
ne se situent que dans la pensée de l’homme
toujours hautain face à ses propres conclusions.
Si
nous étions capables de « regarder
» la terre au-delà de son apparence
que l’on voit à travers les photos si attirantes
des vaisseaux spatiales par exemple,, nous serions
accablés de constater à quel point
la terre est malade, fiévreuse, comme presque
à vouloir s’abandonner. C’est pourquoi qu’il
serait bon d’irradier des pensées d’amour
chaque jour, un instant, quelques secondes suffisent
vers notre Mère Nature « la terre.
» Nous devons cesser d’admirer stupidement
des images de la terre prises par les navettes spatiales
pour ensuite la polluer et l’insulter comme nous
le faisons !
Les
sages de l’Orient ne semblent pas voir ou regarder
la terre comme nous la voyons.
Voici
l’extrait d’un récit raconté par un
élève occidental parti au Tibet vers
la fin du vingtième siècle pour apprendre
la sagesse et la philosophie bouddhique. Libre à
chacun de croire ou non à ce récit.
L’essentiel, n’est-ce pas la vérité
qui pourrait se dégager à travers
ces mots dits avec sincérité et espoir
de revoir la terre recouvrer une santé digne
et méritée ? Il raconte :
«
La première scène fut la vue de notre
planète avec ses grands océans, les
continents, la masse des nuages en formation comme
nous les montre la N.A.S.A. dans une émission
télévisée de l’espace.
«
La terre, est comme une bougie, plus longtemps nous
la regardons, plus nous apercevons le « halo
» qui l’enveloppe. En une ou deux minutes,
l’apparence du globe changea totalement. D’épais
nuages gris, noirs, bruns et rouges recouvrirent
les zones de la terre les plus peuplées.
Occasionnellement, cette masse était traversée
d’intenses lueurs rouges comme produites par des
explosions. Par moment, des rayons bleutés,
roses ou dorés et des étoiles apparaissaient
sur le sombre arrière-plan pour l’éclairer,
mais toute la planète était noyée
dans un halo énorme d’affreuses couleurs
sombres.
Vous
observez les effets des pensées et des émotions
émises par l’humanité et comme vous
pouvez le voir, leur qualité est basse. Voyez
ce nuage gris de l’égoïsme ! Les étincelles
bleues sont les aspirations spirituelles ou d’amour
de la minorité, mais elles sont submergées
par le courant général de passion,
de haine et d’avidité qui a formé
cette aura gigantesque autour de la terre au cours
des milliers d’années. Cela ressemble aux
couches ionisées autour de la planète
qui réfléchit les ondes de radio.
«
Voir de mes propres yeux l’énorme carapace
mentale qui entourait la terre était pour
moi une effrayante découverte.
Notre
planète est malade, malade de fausses conceptions
de l’homme
L’élève
qui observait avec son instructeur murmura :
Par
instants, les sombres nuées se propageaient
loin dans l’espace, me rappelant les tentacules
d’une pieuvre. Ce monstre noir s’élançant
dans l’espace interplanétaire n’était
pas un beau spectacle à contempler et la
sensation que j’étais moi-même sur
le dos de l’affreuse bête me fit frissonner.
A
ce moment, de brillants rayons bleus, roses ou d’une
blancheur neigeuse se propagèrent comme des
éclairs à travers le sombre conglomérat.
Ces rayons seraient-ils de bénéfiques
réactions mentales émises par des
groupes humains ? demanda l’élève
à son instructeur. Le lama acquiesça
et vous pouvez voir comment le noir halo de la terre
pourrait être dissipé par eux si l’homme
pouvait seulement tenter d’émettre ses pensées
et ses émotions (d’amour) sur cette longueur
d’ondes. C’est ce que les peuples devraient faire
systématiquement et avec une parfaite synchronisation,
afin que la terre entière n’émette
plus que de hautes vibrations spirituelles (d’amour)…
»
Occupés à s’entretuer, à vénérer
le matériel comme à entretenir le
culte de la sensualité, l’homme ne peut pas
évidemment dans le même temps se consacrer
à la réflexion sur les effets de ses
erreurs. Dans une certaine mesure, nous pouvons
affirmer que ces bouleversements climatiques ou
déchaînement des éléments,
sont à la fois un avertissement et un ultimatum
pour les gouvernements et les peuples. Dieu, pour
les croyants ou autres êtres supérieures
supposés, n’a rien à voir avec nos
erreurs qui doivent être compensées
d’une manière ou d’une autre !
Un
sage disait à ce propos :
«
Un gouvernement ne peut durer sans l’adhésion
du peuple et les masses ne peuvent exprimer la volonté
de toute une nation que par la voix de leurs représentants
»
Dans
un passé très lointain, il y avait
des civilisations hautement avancées. Elles
étaient plus avancées de quelques
milliers d’années par rapport à celle
que nous vivons actuellement. La révolution
industrielle et des technologiques nouvelles, bien
que spectaculaires n’ont rien à envier à
ce qui a été atteint il y a des millions
d’années ! Pourquoi nous en sommes arrivés
là ? L’homme a toujours voulu s’approprier
d’un certain pouvoir. Tant qu’il le convoitera,
il échouera.
Dans
l’avenir, peut-être proche, la science prouvera,
non pas grâce à des vestiges ou des
ruines mais des découvertes seront vraisemblablement
hors du commun, elles toucheront un domaine bien
particulier ; les lieux de prédilection pourraient
être à nouveau l’Egypte, l’Asie ou
l’Amérique latine par exemple. Bien entendu,
ce qui vient d’être dit n’est pas formel,
car tout dépendra une fois de plus, de l’homme.
Si cet évènement se concrétise,
alors l’homme moderne devra revoir à nouveau
sa façon de penser et de se juger lui-même.
Mais nous n’en sommes pas là ! Et nous nous
écartons du sujet. Revenons donc à
notre présent, ici, et réfléchissons
ensemble sur l’avenir de la terre, du moins sur
ce qu’il ne faudrait plus jamais faire.
Sachons
une fois pour toute que la terre est sur le point
de plus accepter et de tout détruire. Mais
sa générosité est si grande,
qu’elle donne encore et encore une chance à
l’homme pour décider autrement. Il existe
d’autres énergies moins polluantes et surtout
maîtrisables, du moins dont le recyclage est
beaucoup plus accessible pour l’homme. L’énergie
de l’eau, de l’air, des plantes, du soleil, etc.,
est certainement ce qui sera le plus probable. L’énergie
de la terre est très complexe on ne peut
pas l’utiliser à tort et à travers.
C’est vers cette autre perspective que l’homme devra
désormais s’orienter et compter. S’il fait
preuve de contenance et d’intelligence, l’eau pourrait
ne pas manquer comme, hélas, elle est devenue
aussi précieuse que l’or et la sagesse aujourd’hui.
La
terre aurait un Nom : « Urantia » ou
« Urantia Gaïa ». Pourquoi pas,
les autres planète ont bien le leur (Jupiter,
Vénus, etc.).
Il
y a beaucoup à dire sur le déchaînement
des éléments devenu aujourd’hui le
« cœur » de l’actualité. Nous
ne disperserons pas davantage dans cette chronique
particulière. Sachons tout simplement que
la vie n’est pas principalement ce petit train-train
dont nous en faisons notre violon d’Ingres. Aimons
la terre tout simplement. Il y a l’année
de la femme, de l’enfant, des animaux et pourquoi
pas de la terre ? Ce serait alors un moment formidable
car enfin une pensée d’amour à celle
qui nous aime tant ! Alors que nous passons notre
temps à déverser notre venin, notre
fiel sur les autres et sans se rendre bien compte
sur la terre notre mère à tous !
Il
est évident que l’essentiel n’est pas de
se lamenter, de gémir sur notre sort ni vers
ce lendemain dont nous devons accepter en raison
ce que nous en faisons aujourd’hui, c'est-à-dire
maintenant.
RV/RF/09/09/2005